À 77 ans, Michel Sardou s’en prend à Laeticia Hallyday !

À 77 ans, Michel Sardou a secoué le monde de la musique française en s’attaquant directement à Laeticia Hallyday, la veuve de son ancien ami Johnny Hallyday. Dans une interview accordée au Parisien en mars 2024, juste avant son dernier concert, Sardou a exprimé son mécontentement face à l’attitude de Laeticia, qui a commenté son interprétation de “Tennessee” sans avoir assisté à ses concerts. Pour Sardou, cela représente un manque de respect, une intrusion dans un souvenir qu’il chérissait.

Cette pique n’est pas anodine. Elle fait écho à une brouille historique entre Sardou et Johnny, exacerbée par des tensions non résolues. Bien que les deux hommes aient renoué leurs liens dans les dernières années de la vie de Johnny, Sardou n’a jamais complètement effacé les rancœurs. En déclarant que Laeticia “parle d’hommage” sans comprendre la profondeur de son interprétation, il remet en question son droit à définir ce qui constitue un hommage à Johnny. Sardou a précisé que sa reprise de “Tennessee” n’est pas un hommage posthume, mais un clin d’œil à un moment intime partagé avec Johnny. Ce choix musical, qui évoque des souvenirs personnels, souligne la complexité de leur relation. En critiquant Laeticia, Sardou réaffirme sa place dans l’héritage de Johnny, un héritage qui, selon lui, ne lui appartient pas exclusivement.

La réaction de Laeticia reste silencieuse, ce qui soulève des questions sur sa stratégie. Son absence de réponse face aux attaques de Sardou pourrait être perçue comme une tentative d’éviter une escalade de la polémique. Cependant, cette situation met en lumière les tensions persistantes autour de la mémoire de Johnny, où chacun revendique son droit à la narration. En somme, cette confrontation entre Sardou et Laeticia illustre la lutte pour l’héritage de Johnny Hallyday, un héritage complexe, partagé entre souvenirs personnels et rivalités publiques. Sardou, en lançant cette pique, rappelle que la mémoire des stars appartient à tous, mais que chacun a sa propre version de l’histoire.